I’m in Pittsburgh and It’s Raining de Jesse McLean

Et si les doublures avaient aussi droit à la parole, comme n’importe quel acteur ? Entre réflections et transparences, Jesse Mc Lean dévoile avec grâce et ingéniosité l’une des faces qui se cachent derrière la fabrication du cinéma hollywoodien.  


Take What You Can Carry de Matt Porterfield

Une jeune femme, à l’étranger pour une durée indéterminée, traverse les espaces de son quotidien comme autant de sensations différentes. Le travail le plus personnel et le plus atmosphérique du réalisateur de “Putty Hill” et de “I Used To Be Darker”, tous deux présentés à La Roche-sur-Yon. 


Totally lies de Robin Mognetti

Dans une voiture, trois filles parlent d’un homme plus âgé qui semble attirer l’une d’elles. Le voyage s’arrête, et la discussion continue en ligne. Un film ancré dans un usage d’internet kaléidoscopique et hypnotisant. 


Swimming in Your Skin Again de Terence Nance

“Ce film n’est pas un film promotionnel, ni une réflexion sur la religion ou une pratique culturelle. Ce film ne confirme ni n’infirme l’existence du temps, de la vie, de la mort, du paradis, de l’enfer. Ce film, ce sont des sons et des images juxtaposés”. T.N.

Et puis il y a cet homme, ces rites, ces forêts, enfin cette femme. Une  intense plongée visionnaire et musicale.